Carla Rees, flûte – Michael Oliva, éléctronique

Basée au Royaume-Uni, Carla Rees est une flûtiste spécialisée sur les flûtes du registre grave. Elle a développé une renommée internationale pour son travail innovatif. Ele est la directrice artistique de rarescale, un ensemble qui a célébré ses 10 ans en 2013 avec la création de 17 nouvelles oeuvres en 10 jours. Elle a été la Directrice de programmation de la Convention internationale de la British Flute Society entre 2012 et 2014, et est actuellement la liaison internationale de la Nationale Flute Association d’Amérique, et également membre de leur comité de conseil en nouvelle musique. Elle a terminé son doctorat au Royal College of Music de Londres en 2014, menant sa recherche sur les technique extensives sur le flûtes alto et basse avec système Kingma, avec le soutien de bourses du Arts and Humanities Research Council et du Royal College of Music.

Carla Rees enseigne actuellement au Royal Holloway University de Londres et au London College of Music, et est instructrice en musique pourl’Open College of Arts. Carla Rees joue les flûtes à quarts de tons Kingma fabriqués par Eva Kingma et Bickford Brannen. Depuis 2000, elle a travaillé au dévelopement du répertoire de récital pour flutes alto et basses, et a eu des centaines d’oeuvres écrites pour elle de la part de compositeurs du monde entier. Elle a créé des oeuvres de compositeurs dont Claes Biehl, Dan Di Maggio, Alexander Goehr, Sungji Hong, Robert Fokkens, Daniel Kessner, Nicola LeFanu, Adam Melvin, Scott Miller, Patrick Nunn, David Bennett Thomas, Ian Wilson, Scott Wilson, Elizabeth Winters ainsi qu’avec son partenaire collaborateur de longue date, Michael Oliva.

Carla Rees se produit régulièrement lors de festivals internationaux, autant avec son ensemble Rarescale qu’en tant que soliste, dont le Festival de flûte fu Costa Rica, la Convention de flute du Royaume-Uni, des Etats-Unis, de France et de Slovénie. Elle est membre du Rees/Roche/Pestova trio avec la clarinettiste Heather Roche et la pianiste Xenia Pestova, avec lequel elle a joué récemment au Bangor New Music Festival. D’autres performances récentes marquantes incluent « For Philip Guston » de Feldman avec John Tilbury et Simon Allen au Huddersfield Contemporary Music Festival, et la création d’une nouvelle oeuvre de Ian Wilson au University College Cork avec le RTE Vanburgh Quartet, ainsi que des apparitions avec Rarescale au Spitalfields Festival et Nonclassical.

Carla Rees a enregistré 5 disques pour Rarescale Records et Atopos, Capstone et Metier et apparaît sur des musiques de films, à la télévision et la radion, dont Nanny McPhee2 et la série de la BBC Radio 4 « Dear Professor Hawking ». Elle est la directrice d’une companie d’édition pour flûtes au registre grave, Tetractys, et travaille également comme photographe indépendante.  www.carlarees.co.uk

Michael Oliva  est un compositeur de musique de chambre et d’opéra, et un musicien électronique. Il enseigne son domaine de prédilection la musique électroacoustique, au Royal College of Music de Londres, et il se produit au Royaume Uni et à l’étranger. Ses oeuvres ont été radiodiffusées sur la BBC Radio 3 et publiées par les éditions Tetractys

www.michaeloliva.net

Shine est une combinaison de répertoire britanique et de deux collaborations internationales. Le programme montre comme des différents instruments de la famille des flûtes peuvent jouer en collaboration avec l’électronique pour créer des mondes sonores variés.

Thea Musgrave – Narcissus: une oeuvre classique pour flûte et électronique composée par l’une des principales compositrices femmes britaniques.

Davor Vincze – nouvelle oeuvre: cette nouvelle oeuvre pour flûte basse système Kingma et électronique a été donnée en première à Londres en Septembre 2015, commandée par le fonds de New Music UAA.

Sungji Hong est un compositeur coréen qui vit actuellement aux USA.

Michael Oliva – Apparition and Release: cette oeuvre pour flûte alto système Kingma et élecrronique est devenue l’une des pièces phares du répertoire de l’ensemble Rarescale et est un exemple excellent de la marge d’expressivité que la flûte alto peut développer en conjonction avec l’électronique.